Des frites avec un peu de Mayennaise

La rencontre du mois

Nicolas Van den Bossche est responsable du Service communication de l’Hénallux depuis ..heu .. depuis… pfiouu… avant la création de l’Hénallux. Avant même la création de l’Hénam, c’est vous dire s’il peut commencer ses phrases par « De toute ma carrière », ou encore « cela fait assez longtemps que je fais ce métier pour pouvoir dire que ».

Mais si Nicolas Van den Bossche élabore des stratégies, rédige des marchés publics, édite de jolies brochures, tyrannise ses troupes la journée (sa formule préférée étant, pour rappel : « travaillez donc pendant que je fume le cigare dans mon transat »), il consacre la nuit à l’écriture de romans.  Son quatrième, « La chorale des vautours », vient de sortir.

Nicolas écrit sous le nom de sa femme : Moreau. Un nom plus aisément prononçable pour les lecteurs français (ceux qui disent « Molenbèèèèk »).

Après « L’Aube de Pierre » (Nicolas Moreau - Édilivre - Août 2015), un jeu de piste dans les Cévennes, « L’oiseau sur l’épaule du vieux pirate » (éd. Le Lys Bleu), un roman aux odeurs d’embruns, au goût de vin blanc et de joie de vivre avec un héros haut en couleur, et « Le vieux cowboy qui oubliait les prénoms » (éd. Édilivre), où l’on retrouve le héros précité dans les Hautes Vosges, où il soigne son cholestérol à coup d’entrecôtes et de vin (blanc ou rosé, c’est selon), voici donc son premier polar, « La chorale des vautours » (éd. Édilivre).

 

Le pitch :

Léo Roussel, jeune lieutenant de police attaché au commissariat de Laval en Mayenne, soupçonne un vétérinaire d'être l'auteur des meurtres de plusieurs habitants des villages environnants. Comme le vétérinaire lui est sympathique, alors que les victimes étaient toutes des nuisibles patentés, le lieutenant ne paraît pas particulièrement pressé de résoudre l'affaire, encouragé en cela par sa hiérarchie qui souhaite surtout ne pas faire de vagues. Mais les meurtres s'accumulent et il devient difficile de ne pas arrêter de coupable.

 

Le décor est donc planté en Mayenne, la région d’origine de Florence Moreau, épouse Van den Bossche (vous suivez ?), et plus précisément à Laval.

Précisons que Nicolas est amateur de voile et voue un amour infini au Croisic en Bretagne. En toute logique, il habite donc à Wavre. 

Mais si sa région de cœur est plus à l’Ouest, la Mayenne de Florence est tout autant digne d’attrait, sur la terre ferme, pour que s’y déroule un suspense bien sympathique où les morts sont des salauds. 

 

 

Son histoire n’est pas passée inaperçue, puisqu’un journaliste de Ouest France est tombé amoureux du bouquin qui parle de sa région, et a sorti l’article ci-dessous :

 

Un article et une interview radio sur France Bleu Mayenne plus tard, Nicolas faisait sa première séance de dédicace chez Cultura à Laval, avec un plaisir non dissimulé. 

Après cette encourageante expérience, Nicolas reprend le clavier pour une nouvelle intrigue avec Léo Roussel, dans la même région.

Parce qu’on sait, nous, les Belges, que la mayonnaise et les frites, c’est le parfait combo !

 

Anne-Sophie Vandevoorde

 

Envie de lire ?  https://www.edilivre.com/la-chorale-des-vautours-nicolas-moreau.html/

 

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